THE BEST SIDE OF VêTEMENTS ALGéRIENS

The best Side of Vêtements algériens

The best Side of Vêtements algériens

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Ce patrimoine vestimentaire, sans cesse enrichi d'apports nouveaux, offre une massive palette de costumes. On peut y distinguer les costumes citadins d'Alger et ses environs, de l'Est, autour de Constantine et d'Annaba et de l'Ouest autour d'Oran et de Tlemcen ; enfin les costumes ruraux d'un vaste territoire, notamment la Kabylie, les Aurès, l'Atlas saharien, le Mzab et le Sahara profond.

Ce vêtement, connu pour son élégance, est fabriqué à partir de tissus nobles et souvent agrémenté de broderies fines.

La melehfa des Ouled Naïl se drape autour du corps de la même manière que l'elhaf de l'Aurès. La fibule, appelée bzima, ketfiya ou khelala, selon les régions, a la forme d'un triangle plat ou légèrement renflé sur les get more info côtés.

Ainsi, dans l'Algérie orientale du XXe siècle, le faste costume de Constantine keep on à stimuler l'évolution des costumes traditionnelles d'une multitude de villes provinciales, même les agglomérations situées en bordure du massif aurésien ou du Sahara[seventy six].

Il est feasible de trouver des Karakous en stock dans les boutiques spécialisées ou bien de passer commande pour une création sur mesure.

Dans cette société traditionnellement matriarcale, la femme ne se voile pas, mais elle porte un châle de couleurs foncées violacées, de manière générale. Les vêtements sont confectionnés dans des tissus unis et sombres[a hundred and fifteen].

Par la suite le karakou se réinvente et reste LA tenue de prédilection des algériennes durant les grandes fêtes.

C'est pour cette raison que le choix de porter un karakou de colori vert est très judicieux, évoquant aussi l'harmonie, la mother nature et la fertilité.

Manifestation culturelle à Djanet. L'habillement du Targui a subi peu de modifications. II garde ainsi son facet ancien, notamment au cours des fêtes et des cérémonies, où il porte en coiffure de nombreux chèches agrémentés de bandes de coton de couleurs vives[138]. À l'exception du pantalon (ekerbei ou sarouel en arabe), les autres pièces de l'habillement sont taillées presque identiquement sur le modèle de la tunique : gandoura ou aabaya[139].

Robes sétifiennes Au XXe siècle, la ville reste ouverte à l'affect simultanée du costume traditionnel de Constantine, et de celui de la capitale nationale, Alger notamment par l'introduction de la jebba Fergani et du khit er rouh[73]. La mariée d'Annaba revêt encore parfois le melh'afa, de satin broché et de teinte claire[sixty six].

Une chaîne, appelée hrouz ou ktoub, joint les deux fibules[104]. Les femmes se mother or father fréquemment d'un diadème, aassaba ou jbin. Les habitantes du Djebel Amour l'appellent mchebek et plantent au sommet de sa plaque centrale une, voire plusieurs plumes d'autruche[one zero five].

Le karakou est un behavior traditionnel algérien dont les racines plongent dans l’histoire et l’héritage culturel d’Alger. Il est à la fois le reflet d’influences diverses et le témoin d’une évolution continue on à travers les siècles.

Au XIXe siècle, le karakou a émergé comme une pièce maîtresse de la garde-robe féminine à Alger. Il s’incruste dans le patrimoine vestimentaire, originaire de la noblesse algéroise, où il était arboré lors de grandes cérémonies.

Les chaussures traditionnelles sont en cuir rouge[112]. La chemise et la gandoura enfilées sous le péplum, pendant la saison froide, utilisent des étoffes aux tons clairs et neutres, tels que le blanc ou le rose[112].

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